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When I performed in Paris in September, I was thrilled that about a dozen direct descendants of Auguste Franchomme were in attendance.  One of them presented me with this 1864 medal that had belonged to Franchomme—a real treasure!  This was Franchomme’s medal commemorating his service as a founding member of the The Société des Concerts du Conservatoire under François Habeneck. Both Franchomme and Habeneck were in the group from its inception in 1828.

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At first I assumed it was a retirement gift, but Franchomme actually retired from the job 5 years later, on October 12, 1869, when his 2nd consecutive request for a year’s leave was turned down.  So there was probably a ceremony in 1864 at which all founding members were awarded these medals engraved individually with their names. (Unfortunately Habeneck was not among them, since he had died in 1849).

I have already written about Habeneck and the Concert Society of the Conservatoire elsewhere-

https://blogdaysofauguste.wordpress.com/2014/10/13/ams-post-franchommes-debut-solo-performance/

http://musicologynow.ams-net.org/2014/09/the-franchomme-project.html/

https://blogdaysofauguste.wordpress.com/2016/02/21/franchommes-etude-2/

Suffice it to say, this was an important orchestra in Paris, and an important job for Franchomme. In addition to performing the solo part of the William Tell Overture countless times with this group as its principal cellist,* he also played all the Beethoven Symphonies (including the Paris premiere of Beethoven’s 9th), as well as premieres of works by Mendelssohn and Berlioz, and concertos by and with Chopin, Alkan, and Kalkbrenner. The Society’s concert series also is where Franchomme has his solo debut. He performed one of his own compositions, probably a Caprice without the optional cello accompaniment, in the concert on March 29, 1829. Here is what critic François-Joseph Fétis wrote in La Revue Musicale a few days after the concert (also discussed in the notes to my album The Franchomme Project):

Un jeune homme, un enfant, M. Franchomme, est venu, ignore, jouer sans pretention un solo de violoncelle, de manière à se mettre tout à coup sur la ligne des plus grands artistes. Il a dit un thême, sans aucun ornement, et toute l’assemblée fut transportée de plaisir…Trois, quatre, cinq salves d’applaudissemens ont à peine suffi pour exprimer le plaisir qu’avait éprouvé l’assemblée.

*(starting in 1846- before that time, he was 2nd cellist sitting next to his teacher, Martin Louis Pierre Norblin)

********************************************************************************Lorsque j’ai joué à Paris en Septembre, j’etais ravie de voir que environ une douzaine de descendants directs d’Auguste Franchomme étaient présents. Un d’eux m’a présenté cette médaille datant de 1864, qui avait appartenue à Franchomme—un vrai trésor!

Voici l’information que j’ai apprise à propos de la médaille: ce fut la médaille de Franchomme commémorant son service comme membre fondateur de La Société des Concerts du Conservatoire. Il était avec l’orchestre depuis son commencement par François Habeneck en 1828.

La médaille est datée 1864; 5 ans avant la retraite de Franchomme, le 12 Octobre 1869, quand sa 2ème demande de prolongation d’activité a été rejetée. Donc, une ceremonie a probablement eu lieu en 1864, au cours de laquelle tous les membres fondateurs ont reçus ces médailles gravées individuellement avec leurs noms. (Habeneck ne figurait pas parmi eux, puisqu’il était malheureusement décédé en 1849).

J’ai déjà écrit à propos de Habeneck et la Société dans les postes mentionné ci-dessus. Bref, ce fut un orchestre important à Paris, et un boulot important pour Franchomme. En plus de jouer la partie solo de l’Ouverture de Guillaume Tell d’innombrables fois avec ce groupe comme violoncelliste solo*, il a joué toutes les symphonies de Beethoven (y compris la Première a Paris de la 9ème de Beethoven), aussi bien que les Premières des œuvres de Mendelssohn et Berlioz, et les concertos par et avec Chopin, Alkan et Kalkbrenner. Dans l’un des premiers concerts de la Société, Franchomme a été présenté à Paris comme soliste lui-même, jouant l’une de ses propres compositions, probablement un Caprice, dans le concert le 29 Mars, 1829.  Voici ce qu’a écrit le critique François-Joseph Fétis dans La Revue Musicale quelques jours après le concert (aussi dans mes notes de l’album The Franchomme Project):
“Un jeune homme, un enfant, M. Franchomme, est venu, ignore, jouer sans pretention un solo de violoncelle, de manière à se mettre tout à coup sur la ligne des plus grands artistes. Il a dit un thême, sans aucun ornement, et toute l’assemblée fut transportée de plaisir…Trois, quatre, cinq salves d’applaudissemens ont à peine suffi pour exprimer le plaisir qu’avait éprouvé l’assemblée.”

*(à partir de 1846- avant ce temps, il était 2ème violoncelle, à côté de son prof, Martin Louis Pierre Norblin.)

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